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Pourquoi le Dieu de l’Ancien Testament est-il perçu par certains comme un « Dieu de colère », et celui du Nouveau Testament, comme un « Dieu de grâce » ?
Cette perception repose sur une erreur fondamentale. Dieu ne change pas. Il est le même hier, aujourd’hui et pour l’éternité. La Bible affirme clairement : « Je suis l’Éternel, je ne change pas » (Malachie 3:6). Ce que l’on découvre en lisant l’ensemble des Écritures, c’est un Dieu à la fois juste et miséricordieux, dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament.
1️⃣ Dieu dans l’Ancien Testament : grâce et justice indissociables
- Néhémie 9 : Ce chapitre retrace l’histoire d’Israël et met en lumière la fidélité de Dieu envers un peuple souvent infidèle. Malgré les multiples rébellions d’Israël, Dieu ne cesse de les secourir et de leur faire grâce. Sa patience et sa miséricorde y sont manifestes.
- Sodome et Gomorrhe : Dieu exerce le jugement sur des sociétés profondément corrompues, mais Il sauve Lot, un homme juste, et sa famille. On y voit clairement sa justice, mais aussi son souci de préserver ceux qui lui sont fidèles.
- Les Psaumes : Ils regorgent de louanges pour la bonté, la compassion et le pardon de Dieu envers les pécheurs repentants. « L’Éternel est miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté » (Psaume 103:8).
2️⃣ Dieu dans le Nouveau Testament : la grâce, oui, mais sans négliger la justice
L’Apocalypse : Ce livre clôt la Bible avec une révélation puissante du jugement à venir. Dieu y juge les nations, punit le mal, et établit définitivement son règne. Sa sainteté n’est pas édulcorée dans le Nouveau Testament – elle est proclamée avec force.
Actes des Apôtres : L’épisode d’Ananias et Saphira montre que le Dieu du Nouveau Testament ne tolère pas l’hypocrisie ni le mensonge. Leur mort soudaine est une démonstration claire de la sainteté et de la justice divine.
Les avertissements de Jésus : Dans Matthieu 10:28, Jésus rappelle que seul Dieu a le pouvoir de juger définitivement : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps… craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. »
3️⃣ Conclusion : Un seul Dieu, juste et miséricordieux
Opposer le Dieu de l’Ancien Testament à celui du Nouveau Testament, c’est méconnaître la nature cohérente de Dieu. La Bible entière révèle un Dieu à la fois saint, juste, et infiniment bon.
Dieu est « un feu dévorant » (Hébreux 12:29), mais il est aussi « riche en miséricorde » (Éphésiens 2:4). Il condamne le mal avec rigueur, mais il restaure et pardonne tous ceux qui viennent à Lui avec un cœur sincère.
Le Dieu de Moïse dans l’Ancien Testament est le même que celui que Paul a rencontré sur le chemin de Damas. De tout temps, Dieu a jugé le péché, mais de tout temps aussi, il a tendu la main à l’homme pour lui offrir une grâce imméritée.
Pensez à Lot : Dieu envoie des anges pour le sauver, lui et sa famille, avant la destruction de Sodome. Cette scène est un exemple parmi tant d’autres de la fidélité et de la compassion de Dieu envers ceux qui lui appartiennent.
Si nous nous repentons et plaçons notre foi en Dieu et en la grâce qu’il nous offre en Jésus-Christ, il nous pardonnera et nous donnera la vie éternelle avec Lui.
Ce message de grâce n’est pas nouveau : il traverse toute la Bible, d’un bout à l’autre.
Pourquoi Dieu torturerait-il des personnes en enfer pour toute l’éternité ?
Dieu ne torturera personne en enfer.
Ce que Dieu applique, c’est la justice, non la cruauté. Tout comme nos sociétés humaines possèdent des lois et des tribunaux, Dieu a établi un système juste pour juger le mal. Lorsqu’un homme coupable de crimes graves — par exemple, un violeur récidiviste — est condamné à la prison, il peut ressentir cette peine comme une torture. Pourtant, aux yeux du juge, ce n’est pas de la torture, mais simplement la justice rendue.
Il en va de même avec Dieu. La Bible enseigne que Dieu condamnera le péché, et qu’il isolera pour l’éternité ceux qui auront choisi de vivre sans Lui, dans un lieu appelé le Shéol, souvent traduit en français par “enfer”. Ce n’est pas un caprice divin : Dieu prévient, appelle, et offre.
Durant toute notre vie, nous bénéficions d’un accès libre, ouvert et gratuit à Dieu. Mais trop souvent, nous ignorons son appel, rejetons sa loi, et méprisons sa grâce. Pourtant, Dieu est riche en bonté et en miséricorde : Il offre le pardon total à quiconque se repent et choisit de marcher selon ses voies.
Ceux qui rejettent cette grâce recevront ce que la Bible appelle “la rétribution juste” — non parce que Dieu les force, mais parce qu’Il respecte leur choix.
Dieu n’est pas un tyran : « Je ne prends pas plaisir à la mort du méchant », déclare-t-Il dans Ézéchiel 33:11. Son désir, c’est de nous voir revenir à Lui. Dans Jacques 2:13, il est même écrit que « la miséricorde triomphe du jugement », soulignant que Dieu cherche avant tout à pardonner, et non à condamner.
Mais si, en tant que pécheurs, nous refusons obstinément d’écouter, alors la justice s’imposera. L’apôtre Paul nous avertit :
« Par ton endurcissement et par ton cœur impénitent, tu t’amasses un trésor de colère pour le jour de la colère et de la manifestation du juste jugement de Dieu. »
(Romains 2:5-6)
Jésus n’a jamais prétendu être Dieu
Jésus a dit à plusieurs reprises : « Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende. »
Mais qu’a-t-il réellement déclaré à propos de lui-même ?
Certes, Jésus n’a jamais prononcé la phrase exacte : « Je suis Dieu ». Pourtant, il l’a affirmé à de multiples reprises, de manière subtile mais puissante — probablement pour que seuls ceux qui sont attentifs, sincères, et ouverts à la vérité le comprennent, comme il l’a lui-même dit.
Les Pharisiens, eux, ont très bien saisi ce que Jésus sous-entendait : ils ont tenté de le lapider à plusieurs reprises pour blasphème, car il se faisait l’égal de Dieu. Cela montre que ses paroles étaient tout sauf ambiguës pour ceux qui connaissaient la Loi et les Écritures.
Voici trois preuves claires que Jésus a revendiqué sa divinité :
1️⃣ Il a utilisé le nom divin “JE SUIS”
Dans Jean 8:24, Jésus dit :
« Si vous ne croyez pas que JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés. – Jean 8:24 »
L’expression “JE SUIS” n’est pas anodine. C’est le nom par lequel Dieu s’est révélé à Moïse dans l’Ancien Testament (Exode 3:14 : « Je suis celui qui suis »). Jésus ne dit pas simplement qu’il est un prophète ou un envoyé — il s’approprie le nom sacré de Dieu, Yahvé.
2️⃣ Il a déclaré son existence éternelle
Dans Jean 8:58, Jésus affirme :
« Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. – Jean 8:58 »
À ce moment-là, Jésus a environ 30 ans. Pourtant, il prétend exister avant Abraham, le patriarche qui a vécu 2 000 ans plus tôt. Il ne dit pas “j’étais” mais JE SUIS, affirmant ainsi son éternité et son identité divine. Les religieux présents n’ont pas hésité : « Alors ils prirent des pierres pour le lapider. »
Ils avaient parfaitement compris : Jésus se proclamait Dieu.
3️⃣ Il a accepté l’adoration
Dans Matthieu 21:15-16, alors que les enfants s’écrient dans le temple : « Hosanna au fils de David », les chefs religieux s’indignent. Jésus leur répond en citant le Psaume 8, un passage qui parle de louanges adressées à Dieu : « De la bouche des enfants et des nourrissons, tu as fait sortir ta louange. »
En d’autres termes, Jésus accepte une adoration qui revient à Dieu seul, sans la corriger ni la refuser.
Plus tard, dans Jean 20:28, l’apôtre Thomas, bouleversé de voir Jésus ressuscité, s’exclame :
« Mon Seigneur et mon Dieu ! »
Et Jésus ne le reprend pas. Il accepte cette proclamation sans hésiter.
Jésus n’a jamais existé ? Seul la Bible mentionne votre Jésus.
Jésus de Nazareth est un personnage historique incontestable.
D’un point de vue historique, l’existence de Jésus de Nazareth ne fait plus débat. La grande majorité des historiens, qu’ils soient croyants ou non, s’accordent à dire que Jésus a réellement existé. Le Nouveau Testament, bien qu’il soit un texte religieux, est également considéré par de nombreux spécialistes comme un document historique fiable, notamment pour ce qui concerne les grandes lignes de la vie de Jésus.
Contrairement à une idée répandue, les mentions de Jésus ne se limitent pas aux écrits bibliques. Plusieurs sources extrabibliques issues de l’histoire romaine et juive du Ier siècle font également référence à lui.
1️⃣ L’archéologie au service de la Bible
L’archéologie moderne a fortement contribué à valider le cadre historique et géographique de la Bible. On dénombre plus de 25 000 découvertes archéologiques qui confirment l’existence de personnages, de lieux, et d’événements mentionnés dans les Écritures.
Fait remarquable : aucune découverte majeure ne contredit les récits bibliques. Au contraire, dans de nombreux cas, les descriptions contenues dans la Bible ont guidé les archéologues vers des sites et des vestiges importants.
Comme le résume Jeffery L. Sheler, journaliste non-chrétienne et auteure du livre La Bible est-elle vraie ? :
« De façon assez extraordinaire, l’archéologie moderne confirme le fond historique de l’Ancien et du Nouveau Testament, et soutient le récit biblique. »
2️⃣ Des sources historiques non chrétiennes parlent de Jésus
En dehors de la Bible, plusieurs écrivains de l’Antiquité ont évoqué Jésus ou les premiers chrétiens dans leurs écrits. Ces témoignages, bien que succincts, confirment son existence, son influence, sa crucifixion, et même les témoignages liés à sa résurrection.
Parmi ces sources, citons :
- Flavius Josèphe (vers 93 ap. J.-C.), historien juif : « En ce temps-là vivait Jésus, un homme sage — s’il faut l’appeler un homme. […] Il accomplissait des choses étonnantes, attirait à lui beaucoup de Juifs et aussi de Grecs. […] Il était le Christ. […] Il leur apparut vivant trois jours après sa crucifixion, comme les prophètes divins l’avaient annoncé. »
(Antiquités juives, Livre XVIII, 63-64 — Testimonium Flavianum) - Tacite (vers 115 ap. J.-C.), historien romain : « Christus, de qui le nom vient aux chrétiens, subit le supplice sous le règne de Tibère, par la sentence de Ponce Pilate. »
(Annales, XV, 44) - Suétone (vers 120 ap. J.-C.), secrétaire de l’empereur Hadrien : « Les Juifs, poussés par Chrestus, provoquaient des troubles. »
(Vie de Claude, XXV) - Plinius le Jeune (vers 100 ap. J.-C.), dans une lettre à l’empereur Trajan, mentionne les chrétiens qui adoraient Christ « comme un dieu ».
- Le Talmud babylonien (rédigé entre 70 et 200 ap. J.-C.) fait également mention de Jésus, de sa crucifixion et de ses disciples.
- Mara Bar Sérapion, philosophe syrien, évoque dans une lettre un « roi sage » que les Juifs ont exécuté, et dont l’influence perdure.
3️⃣ Conclusion
L’idée que Jésus n’aurait jamais existé est aujourd’hui largement discréditée dans le monde universitaire. Que l’on soit croyant ou non, l’historicité de Jésus de Nazareth est un fait solidement établi par les textes bibliques, confirmés par l’archéologie, et appuyés par plusieurs sources historiques non chrétiennes.
Il ne reste alors qu’une question véritablement décisive :
Qui était-il vraiment ?
Je ne crois que ce que je vois ?
Et pourtant, nous croyons en bien des choses que nous ne voyons pas.
Avez-vous déjà vu le vent ? Non — mais vous en percevez les effets : les feuilles qui bougent, les vagues qui se forment, les toits qui tremblent. Le vent est invisible, mais ses manifestations sont bien réelles.
Avez-vous vu l’Histoire ? Non — et pourtant, vous croyez que Napoléon a existé, que la Révolution française a eu lieu. Ce sont les traces laissées — documents, témoignages, monuments — qui nous permettent d’y croire. C’est, en un sens, un acte de foi fondé sur des preuves.
Même chose pour votre propre cerveau : vous ne l’avez probablement jamais vu de vos yeux, mais vous croyez en son existence à cause de ses effets — la pensée, les émotions, la conscience.
Il en va de même pour les ondes invisibles, comme celles de la télévision ou du Wi-Fi. Elles échappent à nos yeux, mais grâce à un récepteur adapté, nous captons des images, des sons, des données. Sans récepteur, ces signaux passent inaperçus.
La réalité spirituelle fonctionne de la même manière.
De la même manière, un homme qui n’a pas été régénéré (par Dieu) à un récepteur. Cependant, son récepteur (son esprit) est mort à cause de son péché. C’est ce que dit l’apôtre Paul : « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés. » (Éphésiens 2:1)
Ce n’est que lorsque Dieu ravive cet esprit, lorsqu’il nous reconnecte à Sa vie, que nous devenons véritablement vivants. Ce n’est qu’alors que nous devenons conscients de la réalité invisible et spirituelle.
J’espère juste que Dieu sera compréhensif et qu’il me pardonnera.
Pourquoi Dieu n’intervient pas quand un enfant ou que quelqu’un se fait agresser ? Dieu s’en fiche-t-il?
Non, Dieu est un Dieu d’émotions. Il a créé le système des émotions, et nous sommes faits à son image. La Bible nous révèle que Dieu souffre, pleure, se réjouit, se met en colère, et ressent de la compassion.
Dieu éprouve une colère juste envers ceux qui font le mal et infligent de la souffrance, en particulier envers les plus vulnérables. Il déteste l’injustice et l’oppression, et Il a un cœur plein de miséricorde pour ceux qui sont victimes de telles actions.
Dieu a établi un temps pour chaque chose. Il a fixé un moment où Il jugera le mal, où Il punira ceux qui ont détruit, violé, et tué. Le prix à payer sera très élevé, car Dieu abhorre ces actions et les intentions qui se cachent dans les cœurs des coupables. Cela s’applique non seulement aux êtres humains, mais aussi à Satan et à ses démons, comme le souligne Matthieu 26:41.
Dieu pardonne — oui, mais pas à la légère.
Le pardon de Dieu est offert, mais il n’est pas automatique. Il est accordé à ceux qui viennent à Lui avec un cœur sincère, qui se repentent véritablement et qui désirent être pardonnés. Jésus lui-même a établi une condition essentielle :
« Mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. » (Matthieu 6:15) Le pardon que nous recevons est lié à celui que nous sommes prêts à accorder aux autres. »
Et si vous mouriez ce soir ?
Où iriez-vous ?
L’idée de l’enfer vous inquiète ? Alors il y a une seule chose à faire : repentez-vous et mettez votre foi en Jésus-Christ, votre Sauveur. Il a donné sa vie pour vous, afin que vous n’ayez pas à porter le poids de vos fautes.
Mais si cette idée ne vous inquiète pas… alors lisez attentivement ce qui suit.
Votre vie a une valeur inestimable. Votre âme est précieuse aux yeux de Dieu. Quand Dieu vous a créé, Il ne s’est pas contenté de faire « un être humain de plus » — Il a fait vous : une personne unique, irremplaçable, profondément aimée.
Jésus n’a jamais pris le sujet de l’enfer à la légère. Il a dit :
« Craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. » Et encore : « Si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le… mieux vaut entrer borgne dans le royaume de Dieu que d’avoir deux yeux et d’être jeté en enfer. »
🔹 Il a été clair. L’enfer est réel. Et c’est sérieux.
Vous n’avez aucune garantie d’être encore vivant demain. Des milliers de personnes meurent chaque jour, souvent sans prévenir. Beaucoup avaient des projets pour demain. Vous pourriez être la prochaine.
Alors posez-vous cette question : quelle est la vérité ?
Cherchez-la de tout votre cœur. Jésus a promis :
« Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. » (Jérémie 29:13) »
👉 Il n’y aura pas de seconde chance après la mort. Le moment, c’est maintenant.
Tant que vous êtes en vie, il est encore temps. Ne remettez pas à demain la décision qui peut sauver votre âme aujourd’hui.
Si Dieu existe, alors pourquoi la souffrance existe-t-elle ? Si Dieu existe, il est clair que le mal n’existerait pas.
Prenez un instant pour réfléchir à la terre. Elle produit naturellement de la mauvaise herbe – sans qu’on la plante, sans qu’on l’arrose. Elle surgit d’elle-même, s’infiltrant jusque dans les fissures de nos trottoirs. Vous l’arrachez, et le lendemain, elle réapparaît. Une véritable malédiction !
Regardez combien la terre est, par endroits, inhabitable : des millions d’hectares en Afrique, en Australie, et ailleurs sont devenus des terres désolées, arides, et stériles. En plus de cela, notre planète est régulièrement secouée par des tremblements de terre, des ouragans, des tornades. Des inondations ravagent des vies entières. Des prédateurs et des insectes porteurs de maladies – requins, tigres, serpents, araignées, moustiques – menacent la survie humaine. Et que dire des maladies ? Partout, les hommes sont frappés par la souffrance : cancer, Alzheimer, sclérose en plaques, maladies cardiaques, Parkinson… Des enfants naissent avec des troubles mentaux ou des leucémies, parfois incapables de se nourrir seuls.
Tout cela ne devrait-il pas nous alerter ? Quelque chose ne tourne clairement pas rond dans ce monde.
Est-ce que Dieu aurait soufflé toutes ces horreurs lorsqu’il a créé l’humanité ? Serait-il un tyran cruel, si tel était son plan dès le départ ?
Et pourtant, trop de gens utilisent la souffrance comme prétexte pour rejeter Dieu. Mais en réalité, c’est précisément la souffrance qui devrait nous pousser à nous tourner vers Lui.
La Bible, loin de fuir cette question, y répond frontalement. Mais avant de s’y plonger, une question se pose : peut-on faire confiance à la Bible ? Est-elle fiable ? Est-elle vraie ? Prenez quelques minutes pour étudier Matthieu 24, Luc 21 et 2 Timothée 3. Ces prophéties, écrites il y a des siècles, décrivent avec une précision troublante notre époque. Ce livre n’est pas ordinaire. Il est le testament divin, révélant l’origine de notre souffrance – et surtout, ce que Dieu a prévu pour y remédier.
🔹 Selon la Bible, à cause de la désobéissance d’Adam et Ève, la terre a été maudite. Les mauvaises herbes font partie de cette malédiction, tout comme la maladie et la mort. Le péché et la souffrance sont indissociables. Le monde que nous connaissons aujourd’hui est une création déchue. À l’origine, Dieu avait créé un monde parfait, sans souffrance – un véritable paradis sur terre. Mais lorsque le péché est entré, il a ouvert la porte à la douleur, à la maladie, à la mort.
Heureusement, ce n’est pas la fin de l’histoire. Ceux qui croient au message de la Bible espèrent une nouvelle terre et un nouveau ciel. Un royaume promis, sans souffrance, sans maladie, sans mort.
Comme il est écrit :
« Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. »
Imaginez un monde où la terre produirait sans mauvaises herbes, où les déserts deviendraient luxuriants, où la nature cesserait de se détruire elle-même. Un monde où le climat serait notre allié, où les maladies auraient disparu, où la souffrance ne serait plus qu’un souvenir lointain… où la mort elle-même ne serait plus.
Aujourd’hui, la terre est brisée. À chaque coin de rue, des souffrances indicibles. Et pourtant, au lieu d’écouter ce que Dieu dit à leur sujet, au lieu de chercher son pardon et un cœur nouveau, beaucoup se détournent de Lui et s’enfoncent dans le péché, en se déchargeant de toute responsabilité :
« Ce n’est pas ma faute si ce monde va mal ! »
Le péché procure un plaisir temporaire, un repos illusoire… mais il finit toujours par aggraver la souffrance – non seulement ici-bas, mais dans l’éternité à venir.
Je suis aussi bon que n’importe quel chrétien.
Oui, c’est exact. Un chrétien, par lui-même, n’a rien de bon ou de meilleur que qui que ce soit d’autre. Jésus a dit que « seul Dieu est bon ». La Bible, elle, dit que sans Christ, l’homme est corrompu.
« Tous sont égarés, tous sont pervertis; Il n’en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul. »
Psaumes 14:3
Aux yeux de Dieu, même nos bonnes actions, sont comparables à un vêtement souillé.
« Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé. Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent ».
Ésaïe 64:6.
La droiture dont nous pouvons faire preuve vient de Christ lorsque nous nous repentons et mettons notre foi en Lui (2 Corinthiens 5:21, et Philippiens 3:9).
« L’enfer, c’est ici, maintenant sur cette terre. C’est cette vie l’enfer ! »
En disant cela, nous, sceptiques, n’essayons qu’une chose : nier la réalité de l’enfer. Nous pensons que la vie ne pourraient pas être pire que celle que nous avons sur cette terre. Mais la souffrance que nous avons ici sera de l’eau bénite comparée à la souffrance que l’enfer nous réserve. Jésus nous alerte à ce sujet, mais il nous donne aussi une solution.
La réalité, c’est que cette vie sera la chose la plus proche de l’enfer que les chrétiens auront à expérimenter, et la chose la plus proche du paradis que les pécheurs auront expérimentés.
Pourquoi devrait-on craindre Dieu ?
Parce que Dieu est tout-puissant, le sort de notre existence repose entre Ses mains. C’est Lui qui a le pouvoir de sauver… ou de condamner. Comment ne pas Le craindre, lorsqu’on réalise qu’on a affaire à un être doté d’une telle autorité ?
Dans Marc 4:41, les disciples sont saisis de frayeur lorsqu’ils voient Jésus calmer la tempête d’un simple ordre. Le vent et la mer Lui obéissent. Leur peur vient de la prise de conscience qu’ils sont face à quelqu’un dont l’autorité dépasse toute mesure humaine. Ce n’était plus seulement la tempête qu’ils redoutaient, mais Celui qui avait pouvoir sur elle.
Jésus Lui-même enseigne cette crainte. Dans Matthieu 10:28, Il dit :
« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. »
🔹 Mais si Dieu est amour, pourquoi devrions-nous Le craindre ?
Précisément parce qu’Il est amour — un amour qui inclut la justice, la sainteté, et une colère pure contre le mal.
Prenons une illustration :
Imaginez que je sois juge, et qu’on me présente une affaire d’agression. Une jeune femme, Marie, a été attaquée par un homme nommé Simon. Après avoir étudié les preuves, il est clair que Simon est coupable. Si, sous prétexte de « pardon », je décide de ne pas le condamner… serais-je un juge juste ? Un juge aimant ?
Non. En agissant ainsi, je trahirais Marie, et je mettrais en danger d’autres victimes potentielles. Mon amour pour Marie doit se manifester dans la justice : en condamnant le mal qu’elle a subi. Et, paradoxalement, la meilleure manière d’aimer Simon aussi, c’est de le confronter à sa faute — afin qu’il ait l’occasion de changer.
De la même manière, Dieu condamne le péché parce qu’Il est juste… mais Il offre aussi la grâce. Et cette grâce est possible uniquement parce que Jésus a pris sur Lui la condamnation que nous méritions. Dieu, le juge parfait, a trouvé un moyen d’être à la fois juste et miséricordieux.
Lorsqu’un pécheur vient à Lui avec sincérité, se repent, et choisit de se détourner du mal pour se consacrer à Dieu, alors Dieu le « gracie ». Il offre le pardon, la réconciliation, et la vie éternelle.
Mais cette grâce n’est pas automatique. Elle dépend de l’attitude du cœur. Elle est un don… mais un don que l’on doit recevoir avec foi, humilité et repentance.
Le baptême d’eau est-il nécessaire pour être sauvé ?
Chaque personne qui veut venir à Christ doit se repentir et être baptisée, comme le déclare Actes 2:38. Mais attention : ajouter la moindre condition humaine au salut par la grâce revient à introduire des œuvres déguisées. Cela reviendrait à dire que l’œuvre accomplie par Jésus sur la croix n’est pas suffisante – une pensée qui dévalorise profondément le sacrifice du Sauveur.
Pourtant, la Bible est sans ambiguïté : « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Éphésiens 2:8-9)
🔹 Le baptême, bien qu’essentiel et largement souligné dans les Écritures, n’est pas une condition pour mériter le salut, mais un acte d’obéissance qui découle de la foi authentique. C’est une réponse visible à une transformation intérieure. Il suit naturellement la repentance et la confession du péché, comme un engagement public à suivre Christ.
De même, la prière, les bonnes œuvres, la communion fraternelle, l’évangélisation, et toute autre forme d’obéissance chrétienne sont les fruits de notre foi, et non les fondements de notre salut.
👉 En résumé, le salut ne repose pas sur ce que nous faisons, mais sur Celui que nous avons.
« Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. » (1 Jean 5:12)
La méditation est-elle une bonne chose ?
La Bible nous exhorte à remplir notre esprit des choses de Dieu. Comme le dit Philippiens 4:8 « Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées. »
À la lumière de ce verset, on comprend que nos pensées ne sont pas à négliger : elles ont une influence directe sur notre relation avec Dieu.
Or, le principe de la méditation promue dans les courants New Age ou orientaux consiste, au contraire, à vider l’esprit, à se détacher de toute pensée, toute émotion, toute conviction. On y apprend à ne rien analyser, ne rien rejeter, à simplement « laisser être ».
Mais comment, dans ce contexte, pourrions-nous rester vigilants et sobres, comme nous y appelle la Parole, sachant que Satan rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer ? (1 Pierre 5:8)
Comment pourrions-nous obéir à 2 Corinthiens 10:5 : « Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance de Christ »
si, au lieu de combattre ces pensées, nous nous exerçons à les accueillir passivement, sans discernement ?
🔹 Tandis que Dieu nous exhorte à rejeter ce qui s’oppose à Sa vérité, le New Age valorise l’acceptation inconditionnelle de toute pensée — y compris celles qui viennent des ténèbres ou qui portent une charge négative.
Il ne faut pas se méprendre : ce que nous laissons entrer dans notre esprit a des conséquences. S’ouvrir à des pratiques spirituelles non bibliques, aussi inoffensives qu’elles puissent paraître, c’est ouvrir la porte à des influences spirituelles néfastes, voire démoniaques.
👉 Dieu veut nous protéger, et c’est pourquoi Il nous appelle à méditer Sa Parole, à nourrir notre esprit de ce qui est vrai et juste, et non à le vider de tout repère. L’ennemi profite toujours du vide spirituel.
Nous sommes tous des enfants de Dieu
« Peu importe la religion, ou même l’absence de religion, nous sommes tous humains, et donc tous enfants de Dieu. »
Cette affirmation, largement répandue dans notre société moderne, semble bienveillante… mais elle ne reflète pas l’enseignement de la Bible.
Il est vrai que l’être humain a été créé à l’image de Dieu (Genèse 1:27). Il possède une conscience morale, une capacité à raisonner, à aimer, à discerner le bien du mal – des caractéristiques qui le distinguent du reste de la création. Mais cela ne signifie pas pour autant que nous sommes tous, de manière automatique, enfants de Dieu.
👉 Selon la Bible, dans notre état naturel – c’est-à-dire sans être réconciliés avec Dieu – nous sommes appelés « enfants de colère », à cause de notre désobéissance. « Nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres. » (Éphésiens 2:3)
Ce statut est le fruit d’une nature humaine corrompue, qui résiste à Dieu. « L’affection de la chair est inimitié contre Dieu, car elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et elle ne le peut même pas. » (Romains 8:7)
🔹 Jésus lui-même a tenu des propos très forts à ce sujet. S’adressant aux chefs religieux de son temps, Il déclara : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. » (Jean 8:44)
Ce n’étaient pas des païens qu’il visait, mais des hommes profondément religieux, et pourtant séparés de Dieu.
La Bible enseigne que nous devenons véritablement enfants de Dieu lorsque nous naissons de nouveau – c’est-à-dire lorsque nous recevons une vie nouvelle par l’action du Saint-Esprit. « En vérité, en vérité, je te le dis, si quelqu’un ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » (Jean 3:5)
C’est uniquement après cette nouvelle naissance que nous pouvons appeler Dieu « notre Père ». « Vous avez reçu un esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père ! » (Romains 8:15)
Et ce n’est pas un simple statut religieux ou culturel : c’est le Saint-Esprit lui-même qui en témoigne au fond de nous.
« L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. » (Romains 8:16)
Pourquoi sommes-nous si hostiles à lire la Bible ?
La Bible n’est pas un simple livre historique.
C’est aussi un miroir moral, qui éclaire la véritable nature de l’être humain. Et c’est précisément pour cette raison que tant de personnes résistent à l’idée d’en ouvrir les pages.
Nous avons, par nature, une affinité avec le péché. Et face à la lumière de la Parole de Dieu, cette nature est mise à nu. La Bible révèle le mal enfoui dans le cœur humain, cette corruption intérieure qui subsiste tant que nous ne sommes pas transformés par Christ.
Il est toujours inconfortable d’être confronté à la vérité – surtout lorsqu’elle remet en question notre mode de vie, notre sécurité, nos certitudes. Notre premier réflexe est souvent la fuite : fuir le livre, fuir la voix de Dieu, fuir ce qu’elle dit de nous.
Mais ceux qui aiment la vérité plus que leur confort feront un autre choix : ils écouteront. Ils tendront l’oreille, même si cela dérange, parce qu’ils savent que la vérité libère.
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » (Jean 8:32)
Pourquoi la circoncision ?
Genèse 17:12 nous montre que la circoncision était un commandement donné par Dieu au peuple d’Israël.
Cet acte, consistant à retirer le prépuce — la peau recouvrant le gland du pénis — symbolisait une alliance sacrée entre Dieu et l’homme. Chaque Israélite mâle devait porter ce signe dans sa chair, comme un rappel constant de son appartenance au Dieu vivant.
Ne pas être circoncis, dans ce contexte, n’était pas anodin : c’était vu comme une rupture de l’alliance divine, une désobéissance grave. Celui qui refusait ce signe devait être exclu du peuple, car il rejetait l’engagement que Dieu avait établi.
Mais avec la venue de Christ et la Nouvelle Alliance, le Nouveau Testament déplace le sens de cette pratique. Il n’est plus question d’une marque physique, mais d’une circoncision spirituelle, celle du cœur. « La circoncision, c’est celle du cœur, selon l’Esprit et non selon la lettre. » (Romains 2:29)
Notre appartenance à Dieu n’est donc plus gravée dans la chair, mais dans l’âme. C’est le Saint-Esprit qui appose sur nous le sceau de cette nouvelle alliance, transformant notre cœur et nous rendant véritablement enfants de Dieu.
Jésus apparait-il dans l’Ancien Testament ? Dieu a-t-il un corps dans l’Ancien Testament ?
Genèse 18:1-16 présente un moment unique : Abraham reçoit la visite de trois hommes, dont l’un est clairement identifié comme étant l’Éternel.
Dès le verset 1, il est écrit : « L’Éternel lui apparut aux chênes de Mamré… » Puis, au verset 2, Abraham lève les yeux et voit trois hommes. Au fil du passage, il devient évident que l’un des trois n’est pas un simple messager, mais Dieu lui-même. Le verset 14 le confirme sans équivoque : « Y a-t-il rien qui soit étonnant de la part de l’Éternel ? »
Il ne s’agit donc pas d’une vision symbolique ni d’une simple apparition angélique : l’Éternel parle et agit ici sous une forme humaine.
Or, selon l’enseignement biblique, au sein de la Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit), seul le Fils s’est incarné. Ni le Père, ni le Saint-Esprit ne prennent forme humaine dans les Écritures. Cela nous conduit à une conclusion logique et biblique : la personne de l’Éternel qui apparaît à Abraham est le Fils, préincarné – ce que l’on appelle une christophanie.
Ainsi, Jésus est bien l’Éternel qui s’est manifesté ce jour-là à Abraham, bien avant sa naissance à Bethléem.
Qui est l’ange de l’Eternel ?
Ce n’est autre que l’Eternel lui-même : Genèse 22:15
Pourquoi n’aurais-je pas le droit d’utiliser des pierres pour me soigner ? Si ça me fait du bien, alors c’est que c’est bon, non ?
La réponse est en réalité assez simple : il existe quelque chose de plus précieux que notre santé physique ou même notre vie terrestre. Cette chose, c’est notre âme. Jésus nous a exhortés à veiller sur elle plus que sur toute autre chose.
La Bible nous met en garde : toute forme de spiritualité qui ne vient pas de Dieu est non seulement inefficace à long terme, mais aussi dangereuse. Chercher la guérison en dehors de Jésus – par des pratiques spirituelles alternatives, énergétiques ou ésotériques – revient à franchir des frontières interdites. Même si ces méthodes semblent fonctionner temporairement, elles ouvrent des portes vers des réalités invisibles mais bien réelles : le monde des ténèbres.
Dieu seul détient le pouvoir de guérir – s’Il le décide. Il veut que nous dépendions exclusivement de Lui, non parce qu’Il est jaloux de nos options, mais parce qu’Il sait ce qui est bon, vrai, et éternellement sûr.
« Il y a une voie qui semble droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort. » – Proverbes 14:12
Si Dieu est aimant, il n’enverra personne dans un soi-disant « enfer » :
Réfléchissez à ceci : le Dieu que certains accusent d’être “cruel” ou “injuste” est le même Dieu qui, par amour, a accepté de mourir d’une mort atroce sur une croix – une mort qu’Il ne méritait pas – afin de nous éviter précisément cet endroit terrible qu’est l’enfer. Dieu ne veut pas que qui que ce soit y aille. Il offre à chaque être humain la possibilité de choisir sa destinée, en toute liberté.
Oui, Dieu est amour. Mais Il n’est pas seulement amour : Il est aussi saint, juste, et juge. Un bon juge n’ignore pas les crimes. Laisser un criminel impuni ne serait ni aimant ni juste. Alors, si nous attendons la justice de la part de tribunaux humains – pourtant imparfaits –, combien plus pouvons-nous attendre de justice d’un Dieu parfait ?
La Bible nous dit que Dieu est le standard même du bien. Sa nature est pure, sans péché, sans compromis. L’enfer est un lieu d’horreur, non pas parce que Dieu aime punir, mais parce qu’Il en a retiré Sa présence. Ce lieu n’a pas été créé pour l’humanité, mais pour Satan et ses démons (Matthieu 25:41).
À l’origine, Dieu avait préparé le jardin d’Éden pour que les hommes vivent en paix avec Lui pour toujours. Mais l’homme s’est rebellé. Depuis, Dieu ne cesse d’appeler chacun à revenir à Lui, par amour.
L’enfer est ce qu’il est parce qu’il est privé de Dieu et donc, privé de tout ce qui est bon. La Bible dit : “Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières…” – Jacques 1:17
Cela signifie que tout ce que nous aimons ici – la lumière, la chaleur du soleil, la nourriture, le sommeil, la beauté, la paix, l’amour, la joie – vient de Lui. Rien de tout cela n’existe “par défaut”. Ce sont des dons de Dieu. Lorsque Dieu retire Sa présence, tout le bien disparaît avec Lui.
👉 Voici pourquoi l’enfer est un lieu :
- Sans lumière : car Dieu est lumière (1 Jean 1:5)
- Sans vie : car Dieu est la vie (Jean 14:6)
- Sans amour : car Dieu est amour (1 Jean 4:16)
- Sans paix : car Jésus est le Prince de la paix (Ésaïe 9:6)
- Sans bonté, sans force, sans eau, sans espoir : car toutes ces choses viennent de Dieu seul (cf. Psaumes 18:32 ; 36:9 ; Deutéronome 11:11)
On ne peut pas vouloir les bienfaits de Dieu sans vouloir Dieu Lui-même. Il est la source de tout bien. Si vous rejetez la source, vous perdez les fruits.
C’est pourquoi l’enfer est la conséquence directe du rejet de Dieu. C’est un lieu pour ceux qui, volontairement, disent : “Je ne veux pas de Toi.” Alors, Dieu respecte ce choix. “Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.” – Apocalypse 21:8
Dieu nous prévient parce qu’Il nous aime. Il ne veut pas que nous y allions. Il nous donne le choix, mais aussi l’avertissement.
Jésus a dit :
« Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.” – Matthieu 12:37 »
Ne croyez pas que tout ce qui est bon est “naturel”. C’est un cadeau divin. Dieu vous le donne chaque jour pour vous attirer à Lui, pour vous inviter à chercher plus, à découvrir Celui qui est la source de tout ce que votre cœur désire profondément.
Dieu veut se donner à vous. Il veut que vous soyez avec Lui. L’enfer, c’est l’endroit où Dieu n’est pas. Et pour ceux qui ne veulent pas de Lui, Il y a, en effet, un endroit où Il n’est pas.
Si Dieu sait tout, il savait que les êtres humains lui désobéiraient et que la majorité d’entre eux iraient en enfer, alors pourquoi nous avoir créés ? » ?
La Bible nous dit que Dieu nous connaissait avant même que nous soyons dans le ventre de notre mère (Jérémie 1:5-10). Avant même les fondations de la terre, il nous connaissait et nous aimait.
Que cela signifie-t-il exactement ? Bien qu’il soit difficile de saisir pleinement la profondeur de cette vérité, ce que nous pouvons affirmer, c’est que ce passage suggère que nous existions déjà d’une certaine manière, au moins dans le cœur de Dieu, si ce n’est dans une réalité physique.
Une autre question fréquemment posée est la suivante : Pourquoi Dieu ne nous a-t-il pas créés de manière à nous rendre incapables de faire le mal ?
La raison est que Dieu ne crée pas des robots. Il a choisi de nous créer comme des êtres responsables et libres, capables de faire des choix. Il a voulu que nous soyons confrontés au bien et au mal, et que nous ayons la liberté de choisir. Dieu ne souhaitait pas que nous soyons forcés à faire le bien, ou que notre seule option soit de le suivre Lui et ses règles.
Cependant, ces choix ont des conséquences et ne resteront pas sans jugement. Dieu nous teste, il scrute nos cœurs et nos intentions. Il nous éprouve pour connaître la véritable nature de nos motivations. Seuls ceux qui agissent selon la droiture et qui suivent les principes du Maître de l’univers accéderont à ce que l’humanité possédait au départ : la paix et l’harmonie du jardin d’Éden que Dieu avait créés et donnés à l’Homme.
Sans la religion, les choses iraient beaucoup mieux dans le monde :
Cette question sous-entend que la religion serait responsable des guerres et des crimes. Mais est-ce réellement le cas ?
D’après l’Encyclopédie des Guerres, parmi les 1763 conflits historiques connus et répertoriés, seulement 121 (soit moins de 7 %) ont pour première cause la religion. De plus, sur les 100 plus grandes atrocités commises dans l’histoire de l’humanité, seulement 11 sont directement liées à la religion (source : Matthew White, The Great Big Book of Horrible Things, 2011). Ce livre classe les 100 pires atrocités de l’humanité en fonction du nombre de morts.
En toute objectivité, il est difficile d’imputer aux religions la responsabilité des guerres : les chiffres parlent d’eux-mêmes. L’appât du gain et du pouvoir sont les véritables causes profondes des conflits qui opposent les nations.
Réfléchissez aux guerres récentes que vous connaissez. Étaient-elles le résultat d’un conflit religieux ? La guerre d’Indochine, la guerre d’Algérie, la Première et la Seconde Guerre mondiale, les guerres napoléoniennes, la Révolution rouge, ou encore la guerre en Ukraine, n’ont aucune origine religieuse. Ce sont avant tout des luttes de pouvoir et d’intérêts politiques, économiques, ou territoriaux.
Pourquoi les chrétiens ne suivent pas toutes les lois de la Bible ?
Dieu ne nous appelle pas à suivre les mêmes règles, car il ne change pas : son caractère, sa nature, et ce qui est juste et bon restent éternellement constants. En revanche, notre situation en tant qu’êtres humains a évolué. Dans l’Ancien Testament, Dieu demande à son peuple (Israël) de suivre un ensemble strict de lois. Cependant, avec l’arrivée de Jésus, Dieu fait une percée décisive : la loi reste bonne, elle est sainte, mais Jésus ne vient pas pour l’abolir, il l’accomplit. Il ne rejette aucun de ses principes, au contraire, il les approuve.
Mais en mourant sur la Croix, Jésus inaugure une nouvelle ère pour l’humanité. Nous ne vivons plus sous le régime de la loi comme Israël, car Jésus devient notre modèle et notre exemple suprême. La loi de l’Ancien Testament nous révèle notre péché et notre incapacité à répondre aux exigences divines. C’est pour cette raison que Dieu, incarné en Jésus, vient offrir la solution à notre problème : la réconciliation avec Lui par la Croix, en raison du péché qui nous sépare de Lui.
Par exemple, dans l’Ancien Testament, Dieu ordonne la lapidation des adultères. Jésus, quant à lui, dans le Nouveau Testament, nous montre un chemin différent. Face aux accusateurs d’une femme adultère, il leur dit : « Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. » Il ne rejette pas la loi, mais il en propose une interprétation fondée sur la miséricorde et le pardon.
Un autre exemple se trouve dans les règles alimentaires strictes de l’Ancien Testament. Jésus, lorsqu’il est confronté par les Pharisiens au sujet de la consommation de nourriture pendant le sabbat, leur rappelle que ce n’est pas ce qui entre dans l’homme qui le souille, mais ce qui en sort. Il met en lumière la loi spirituelle qui va au-delà des prescriptions externes.
📖 Hébreux 8:6-13
« Mais maintenant, [Jésus] a obtenu un ministère d’autant supérieur qu’il est le médiateur d’une meilleure alliance, qui a été établie sur de meilleures promesses. et En disant : une nouvelle [alliance], il a déclaré ancienne la première ; or, ce qui devient ancien et vieilli est près de disparaître. »
👉 Ce passage explique que la Nouvelle Alliance, établie par Jésus, surpasse l’ancienne, parce qu’elle repose sur des promesses spirituelles et éternelles, et non plus sur des rites et lois externes.
La réponse simple à cette question est que Jésus est notre exemple ultime, et c’est lui que nous suivons désormais, avec les lois qu’il a établies pour cette ère de grâce. Avant Jésus, les règles étaient différentes, adaptées à un temps qui devait conduire à sa venue. Une nouvelle époque commencera à son retour, et avec elle, des règles seront à nouveau instaurées. Ce sera une ère de jugement, marquée par la fin de cet âge de grâce.
Jésus a-t-il prophétisé ? (Annoncer des choses avant qu’elles ne se produisent)
Jésus a prophétisé à de nombreuses reprises :
1️⃣ Jésus a annoncé des événements futurs avec une précision remarquable. Il a informé ses disciples qu’un d’entre eux le trahirait. Lors du dernier repas avec eux, l’un des disciples lui demanda : « Qui te trahira ? » Jésus répondit : « Celui à qui je donnerai ce morceau de pain, c’est celui-là, le traître. » Il tendit le pain à Judas, qui le trahit effectivement pour trente pièces d’argent, accomplissant ainsi cette prophétie (Matthieu 26:20).
2️⃣ Il prophétisa également que ses disciples prendraient la fuite lors de son arrestation. Dans Matthieu 26:31-32, il leur annonce qu’ils le laisseraient seul. Et lorsque Judas arrive avec la foule pour l’arrêter, ses disciples s’enfuient effectivement et l’abandonnent (Matthieu 26:56).
3️⃣ Lorsque Jésus annonce aux disciples qu’ils le renieront, Pierre, indigné, lui déclare qu’il ne l’abandonnerait jamais, même si tous les autres fuyaient. Jésus lui répond que, cette même nuit, avant le chant du coq, Pierre le renierait trois fois (Matthieu 26:34). Pierre, malgré ses promesses, le reniera effectivement trois fois avant que le coq ne chante, et il pleurera amèrement en se souvenant des paroles de Jésus (Matthieu 26:69-75).
4️⃣ Jésus prophétisa aussi sa propre mort et résurrection. Dans Matthieu 20:17-19, il annonce clairement qu’il sera arrêté, condamné, crucifié, mais qu’il ressuscitera le troisième jour. Si Jésus n’était pas ressuscité, si les disciples n’avaient pas vu de leurs propres yeux Jésus vivant après sa crucifixion, ils auraient probablement conclu qu’il était un faux prophète. Cela aurait rendu la propagation du christianisme presque impossible, car les disciples, prêts à mourir pour leur foi, n’auraient pas continué à évangéliser s’ils n’avaient pas été témoins de sa résurrection. Personne ne meurt pour un mensonge. Les quatre évangiles rapportent tous la résurrection de Jésus. Le livre des Actes met aussi en lumière cet événement à travers l’histoire de l’apôtre Paul, un ancien persécuteur des chrétiens. Après une rencontre surnaturelle avec Jésus sur le chemin de Damas, Paul se convertit radicalement et devint un des plus grands évangélistes, répandant l’Évangile aux nations. Il mourut, comme les autres disciples, pour avoir annoncé Jésus comme le Christ ressuscité.
5️⃣ Jésus annonça également plusieurs événements majeurs concernant l’avenir du peuple juif et de l’Église :
- Il prophétisa la destruction du Temple de Jérusalem, qui se produisit en l’an 70.
- Il annonça l’exil des Juifs de leur terre, ce qui s’est vérifié au cours des siècles suivants.
- Il prévint ses disciples et ses partisans qu’ils seraient persécutés pour leur foi.
- Il prédit qu’il serait rejeté, même par son propre peuple, les Juifs.
- Il annonça que son Évangile serait prêché dans le monde entier, et cela s’est concrétisé avec la diffusion du christianisme aux quatre coins de la terre.
- Il affirma également que ses paroles ne passeraient pas, qu’elles demeureraient à jamais, témoignant ainsi de la pérennité de son message. Plus de 2000 ans plus tard, la Bible est le livre le plus lu de tous les temps.
Ces prophéties, qui se sont réalisées au fil du temps, témoignent de la véracité de l’enseignement de Jésus et de sa divinité.